FICELLES BLANCHES

L’inspiration du « blanc sur blanc » remonte à l’hiver 1956. Une vague de froid touche alors le pays et la vision de la neige recouvrant et dissimulant l’ensemble du paysage devient une source d’inspiration pour Paul Tenèze.

Je songe aux étendues de neige de l'hiver prochain, qui enseveliront le gris et le noir, et joueront aux miroirs avec le ciel et le soleil. Sous la couche pure le gris subsistera et réapparaîtra à la fonte des neiges.

Paul Tenèze

TECHNIQUE

Pour retrouver cette sensation de blanc, d’une non-couleur qui dématérialise tout, il fait des choix minimalistes.

Les reliefs sont créés par des toiles de textures différentes, des bouts de ficelles ou encore des cordes plus épaisses fixées sur des petits formats en bois. La surface est ensuite uniquement enduite de peinture blanche uniforme et mate.

Les incidents du relief captent la lumière et engendrent un jeu subtil et aléatoire d’ombres et de lumières.

tableau n° 41 - Arrimage
62 X 40

tableau n° 40
4ème dimension
61 X45

tableau n° 52
monde imaginaire 3
82 X 61

tableau n° 13
Attraction
40 X 33

tableau n° 42
arrimage 2
61 X 41

tableau n° 25
sentier des crêtes
34 X 30

tableau n° 21 chronophotographie
40 X 30

tableau n° 6
Symphonie
20 X 37

tableau n° 14
Chute
40 X 33